Les motivations pour créer une association sont aussi diverses que variées, mais dans tous les cas elles valent le coup et s’avèrent très stimulantes : association sportive, politique, culturelle, éducative, artistique, d’entraide, pour seniors, pour dynamiser une commune… Le champ des possibles est tellement vaste ! Évidemment, de nombreuses associations existent déjà, mais parfois vous pouvez nourrir un projet bien précis et qui vous ressemble davantage, dans ce cas là n’hésitez pas une seule seconde. Comment créer une association ? La création d’une association est plus simple qu’il n’y paraît alors suivez le guide !

 Les étapes de préparation avant la création de l’association

Pouvez-vous créer une association ?

Pour pouvoir créer une association, il y a certaines conditions à remplir : il faut au moins être deux fondateurs, il faut également être âgé d’au moins 16 ans.

Le lieu du siège de l’association

Avant de vous vous lancer dans la création d’une association loi 1901, déterminez d’abord le lieu du siège social que vous allez lui choisir en France. Dans quel but ? C’est à cette adresse que vous recevrez tous les courriers officiels. Généralement c’est l’adresse personnelle d’un des deux fondateurs, en tout cas pour les petites associations. Et ce n’est pas forcément l’adresse où l’association exerce ses activités.

Compatibilité avec la loi 1901

L’association loi 1901 est une structure qui a été créé pour les projets à but non lucratif. Qu’est-ce que ça veut dire ? Que l’activité que vous allez développer au sein de votre association ne doit pas engendrer de bénéfices ni vous enrichir personnellement ! Des bénéfices qui donnent des moyens à l’association de développer ses activités oui, mais pas de bénéfices personnels que vous gardez pour vous.

Les statuts de l’association

Les statuts sont en quelques sorte les règles de l’association, certaines sont imposées par la loi 1901. Lorsque vous les rédigerez, vous devrez insérer à l’intérieur de ces statuts des mentions obligatoires : le nom de l’association, le siège social, l’activité créée, les règles de direction et d’assemblée générale. Dans les statuts vous allez également indiquer le montant éventuel de la cotisation des membres ou encore les règles d’adhésion. Si l’on devait résumer, les statuts de l’association sont un peu comme un contrat qui lie les adhérents aux fondateurs. Dans certains cas, il peut également s’y trouver un règlement intérieur.

Les responsables de l’association

Dans le cadre de la création d’une association, une personne au minimum, doit être désignée pour diriger et représenter l’association, c’est que l’on nomme le « président ». Ce dernier doit avoir au moins 16 ans. Un trésorier doit être également trouvé. Son rôle sera d’assister le Président dans la gestion de l’association, notamment financièrement. Enfin, et toujours pour épauler le Président dans ces tâches, il peut être utile de nommer un secrétaire, pour la gestion du matériel et de l’administratif. Ces postes sont généralement désignés lors d’une assemblée générale, un vote peut avoir lieu, puis un procès-verbal écrit.

Les étapes de déclaration de l’association

Déclarer son association

Il faut déclarer la création d’une association à la préfecture ou sous-préfecture dont dépend la commune de votre siège social. Sur place ou via internet, c’est le « greffe des associations » de l’autorité préfectorale en question qui traitera la déclaration de votre association. Il existe deux procédures pour ce faire : vous pouvez déclarer votre association via un formulaire en ligne ou remplir une déclaration papier sous forme de deux formulaires Cerfa. Dans les deux cas pensez à prévoir sur vous une copie des statuts de l’association ainsi qu’une copie du procès-verbal de de l’AG constitutive.

Le récépissé officiel

Si la préfecture accepte votre dossier de création d’association, elle vous enverra un récépissé officiel de déclaration contenant un numéro RNA. Dans le cas où votre déclaration ne serait pas conforme, vous recevrez une lettre de rejet avec les motifs de ce rejet. Si votre demande est rejetée, pas de panique, vous pouvez modifier votre déclaration pour vous mettre en conformité et procéder à une nouvelle déclaration.

Le Journal Officiel

Au moment où la préfecture envoie un récépissé de déclaration, elle demande en parallèle la publication de la déclaration auJournal Officiel des associations. Cette publication est gratuite. Pour vérifier que cela a bien été fait vous pourrez vous connecter sur le site du Journal Officiel et télécharger le témoin de publication de votre déclaration.

Le numéro Siret

Dans le cas où votre association serait susceptible de chercher des fonds de financement, faites la demande d’un numéro de Siret. En effet, pour bénéficier de subventions publiques, une association doit impérativement être déclarée auprès de la préfecture et surtout avoir un numéro Siret d’association ! Il faut en faire la démarche vous-même car ce n’est pas automatique.

Les avantages de créer une association

Une association peut démarrer à partir de rien puisqu’elle n’impliqueaucun capital minimum ni frais de constitution contrairement à la création d’entreprise.

Les formalités de constitution sont plutôt simples. Nous l’avons vu, il suffit de remplir des statuts manuellement, de les déposer à la préfecture et le reste suit son cours…

Pas de cotisations sociales à verser pour le Président et les autres membres du bureau associatif. Dans le cas où l’association pourrait être amenée à employer quelques salariés, ces cotisations seraient allégées.

Une fiscalité allégée pour les petites activités

Une comptabilité avantageuse puisqu’on peut éviter de faire appel à un professionnel

Des aides à l’embauche

Vous souhaitez investir dans une association et avez de nombreuses questions: le bénévolat est-il fait pour moi? Puis-je me ménager avec mon emploi du temps? Comment évaluer cette aventure? Retraités, étudiant, demandeurs d’emploi ou salarié , pas de panique! Tout le monde peut faire du bénévolat, ce qui est beaucoup plus facile que vous ne le pensez.

Qu’est-ce qu’un bénévole ?

La loi définit le service volontaire comme « la gratuité et la gratuité ». Il s’agit d’un problème de contribution à une association ou à une organisation sans recevoir de récompense. En conséquence, les bénévoles sont devenus des participants aux activités d’association à but non lucratif. Le volontariat est un choix volontaire, et la motivation de chacun le prouve. Tout le monde peut faire du bénévolat, il n’y a pas de différence. Afin de consacrer du temps à la juste cause, le volontariat a attiré de plus en plus de personnes. Chaque année, près d’un quart des Français se portent volontaires pour rejoindre l’association. D’après www.petitsfreresdespauvres.fr , des milliers d’organisations à travers le pays peuvent contacter des associations bénévoles ou des organisations non gouvernementales.

Le volontariat est d’abord basé sur des valeurs morales fortes, telles que le respect de la dignité humaine et la solidarité. Il est donc nécessaire d’être cohérent avec ces valeurs et de devenir volontaire d’une association ou d’une ONG. C’est aussi un moyen de participer à la vie sociale et de s’intégrer dans la communauté. De nombreux domaines d’activité font partie du cadre des services de volontariat et peuvent être réalisés dans les domaines de l’action sociale, des sports, de la culture, de l’éducation, de l’environnement et même de la défense animale. Le bénévolat dans l’association peut être temporaire ou de longue durée: c’est ce que l’on appelle le bénévolat. Se porter volontaire pour devenir une organisation non gouvernementale est plus difficile: il s’agit d’un engagement humanitaire progressivement spécialisé. Une expérience de bénévolat et des compétences spécifiques sont souvent requises.

Pourquoi devenir bénévole ?

Premièrement, il faut souligner que devenir bénévole est une question de valeurs. Actuellement, la société vit dans un profond individualisme, le bénévolat aide ainsi à faire face à ce phénomène. En effet, les valeurs de partage et d’entraide sont recommandées. La raison pour laquelle nous faisons du bénévolat est parce que nous croyons que les gens deviendront plus forts lorsqu’ils seront unis. Pendant le travail, les week-ends et le travail quotidien entre la famille et les amis, le travail quotidien commence rapidement. Le bénévolat, c’est vous raffermir, sortir de la zone de confort et enfin trouver votre raison, pour mieux vous ouvrir aux autres.

De plus, en France, les associations ne manquent pas! Vous trouverez forcément une structure pour trouver des bénévoles sans avoir à aller loin: dans votre communauté, ville, forum communautaire ou encore mairie. En France, il y a des associations partout ! Si vous souhaitez investir, veuillez d’abord vous poser les questions suivantes : Dans quel domaine souhaitez-vous participer ? Quelle raison voulez-vous servir? Posez-vous autant de questions dès que possible afin que votre expérience de bénévolat puisse maximiser votre satisfaction.

Les compétences pouvant être acquises

Vous devez y avoir réfléchi: le bénévolat dans une association vous offre la possibilité d’acquérir ou de développer des compétences uniques. Mais aujourd’hui, d’ailleurs, tous ceux qui veulent rejoindre l’association n’ont pas le même objectif final ou le même objectif initial. Lorsque certaines personnes souhaitent ajouter une nouvelle expérience à leur CV, d’autres seront plus sensibles à l’acquisition de compétences et/ou de connaissances avancées dans des domaines spécifiques.

Pour atteindre ces objectifs parfois conflictuels, il existe un document adapté: les compétences. Cela permet au volontaire en question et à l’association concernée de reconnaître les compétences que la personne a mises en œuvre. L’objectif ultime de l’outil est d’introduire des compétences développées par des volontaires auprès d’acteurs externes afin que ces derniers puissent reconnaître et reconnaître ces compétences comme de véritables qualifications. Et si la participation au volontariat la rend plus professionnelle et « employable »?

Les caractères du bénévole

Afin d’exercer correctement leurs fonctions et de répondre aux besoins de l’organisation dans laquelle il travaille, les volontaires experts doivent posséder certaines qualités. Premièrement, les entreprises bénévoles doivent savoir faire preuve d’unité. En effet, il est important qu’il entretienne de bonnes relations avec l’autre partie, et qu’il fasse preuve d’un sens de la communauté d’intérêts, l’incitant à aider l’autre partie. Il doit être libre et engagé dans la carrière qu’il a choisie. Deuxièmement, un bénévole doit avoir de bonnes capacités d’écoute pour répondre aux besoins de l’organisation qu’il soutient. Il n’hésitera pas à poser des questions afin de bien comprendre ses responsabilités, afin de répondre à nos attentes. Une écoute attentive peut faire de lui une personne de confiance. Enfin, des bénévoles parfaits se soucient d’un travail de qualité. Malgré les délais, et parfois les délais serrés, il a fait du bon travail et espérait faire de son mieux.

Il y a de nombreuses raisons qui peuvent vous pousser à l’arrêt des dons faits à une association ou une organisation. Il peut arriver que vous souhaitiez donner à une autre association ou bien investir dans quelque chose de nouveau. Généralement, si vous avez fait des dons réguliers, il n’y a pas d’engagement de durée et donc vous pouvez résilier le don à tout moment.

Pourquoi vouloir arrêter un don à une association ?

Il existe de nombreuses associations à qui vous pouvez faire un don. Il est tout à fait normal que vous vous sentiez concerné par les causes qu’elles défendent. Beaucoup de personnes ont décidé de faire un don aux associations et organisations qui font des actions sur place ou à l’étranger, et peut-être que vous êtes parmi tous ces donateurs. Mais, il est compréhensible que vous soyez obligé de faire un arrêt des dons à un moment donné pour de nombreuses raisons. Il est possible que la cause défendue ne vous convienne plus, que vous vouliez soutenir une autre cause, mais que vous n’ayez pas les moyens de faire des donations pour tout. Il se peut aussi que vous vous sentiez victime d’une supercherie ou que vous n’ayez plus le budget nécessaire pour faire un don.

Quelles sont les démarches à faire pour arrêter ses dons ?

Les associations et autres organisations comprennent tout à fait les raisons qui vous poussent à faire un arrêt des dons. C’est pour cela que les démarches d’arrêt sont les plus faciles et rapides possibles. Sachez qu’elles ne sont pas là pour vous faire culpabiliser. Les démarches varient toutefois d’une association à une autre. Ainsi, il sera préférable de regarder sur leurs sites internet comment il faut faire pour résilier un don chez ces associations. Toutefois, n’ayez crainte car la procédure n’est pas du tout compliquée. Dans la plupart des cas, il suffit de téléphoner ou d’envoyer un mail pour se désinscrire. Le prélèvement automatique sera arrêté une fois que vous aurez parlé avec les responsables.

Que faire s’il y a des problèmes ?

Pendant la procédure de demande d’arrêt des dons, il arrive parfois que certaines personnes rencontrent des problèmes. Ce genre de cas arrive plus souvent chez les petites associations dont le service administratif est un peu lent, contrairement à celui de grandes associations. Si vous tombez sur un problème tel que celui-là, il faudrait que vous envoyiez une lettre à ladite association ou organisation. Le mieux serait de faire une lettre recommandée avec accusé de réception pour garder une preuve de votre résiliation. La lettre devra expliquer pourquoi vous souhaitez arrêter le don et contenir la date de notification. Avec cette demande écrite, vous serez aussi plus tranquille car l’association ne pourra plus insister pour vous faire revenir.

Une association est un groupe de personnes appelé membre qui se réunissent pour former une organisation professionnelle appelée association ou société. La création de cette organisation est délibérée et vise à faciliter la réalisation d’objectifs très spécifiques, notamment en fournissant des services et en améliorant la carrière des membres professionnelle. Pour garantir que l’association est en mesure d’exécuter correctement ces rôles, il est important de comprendre le fonctionnement d’une association.

Régime juridique

Pour fonctionner légalement et indépendamment, les associations doivent être enregistrées conformément à la législation du pays. Cela donne à l’association la capacité juridique de conclure des accords ou des contrats, d’assumer des obligations, d’engager et de payer des dettes, de poursuivre et d’être poursuivi, et d’être tenu responsable de ses actes. L’enregistrement garantit que l’association est reconnue par le gouvernement et donne à l’Autorité palestinienne la légitimité de représenter, défendre et agir au nom de ses membres. Le nom légal, le logo et la conception graphique contribuent au profilage de la profession. Dotée d’une forte identité visuelle, l’association attirera davantage de ressources financières, humaines et sociales et nouera des partenariats clés.

Le statut

Le fonctionnement d’une association nécessite un groupe de personnes qui doit être organisé et doivent être travaillées selon les spécifications et les règles données afin de donner le résultat attendu. Ils travaillent tous sous une même tête tandis que dans la communauté, chaque personne est indépendante de ses idées. Généralement, c’est le manager qui définit ces règles en consensus avec les autres membres expérimentés de l’association. Les membres ou subordonnés restants travaillent ensuite autour de ces règles pour satisfaire leur motif. Cependant, ces règles sont souples et peuvent subir les modifications nécessaires si le créateur de l’association le souhaite dans le cas où il constaterait que le résultat souhaité n’est pas obtenu. Les clubs de musique et les syndicats peuvent être considérés comme des exemples d’associations.

L’adhésion

Personne ne peut être contraint de participer aux travaux de l’association. Une personne ne le fait que parce qu’elle le veut, c’est donc une décision volontaire. La raison en est que le fonctionnement d’une association n’est pas comme l’organisation d’un État ou d’une société où une personne pourrait travailler pour son compte. Parce qu’il s’agit d’une action volontaire, chaque personne est responsable de ses propres actions et résultats. De plus, la personne est libre de reculer si elle pense que l’objectif pour lequel elle a rejoint n’est pas sérieusement recherché. Aucun dirigeant d’association ne peut travailler avec des membres désobéissants. Il y a un code de conduite à suivre qui ne doit pas être violé. Seuls ceux qui suivent les directives sont impliqués dans la poursuite de l’objectif, car ils parviennent à gagner la confiance de leur superviseur en tant qu’employés. Et ils sont reconnus comme membres.

L’importance des dons aux associations c’est qu’ils sont classés dans les actions sociales qui ont de grandes envergures. Les associations à but non lucratif ne fonctionnent que par les dons. Ces quelques lignes vont vous expliquer pourquoi.

Importance des dons pour une association

La plupart des associations qui bénéficient de dons sont celles qui travaillent dans un cadre de bénévolat, ou les propriétaires ou les personnes qui y travaillent sont des bénévoles ou volontaires. De ce fait, ces associations ne peuvent compter que sur les dons ou les fonds qu’ils ont réservés pour faire fonctionner l’organisme qui œuvre toujours de façon humanitaire, comme les orphelinats, les maisons pour retraités, les maisons pour sans-abris.

Les dons vont aider à mieux gérer le personnel qui est pour la plupart des volontaires, mais qu’il faut les compenser des fois pour les motiver. Ou aider les associations à bien s’occuper des orphelins ou sans-abris qui n’ont rien, mais qui doivent vivre avec tous les droits du monde comme étudier, manger, vivre sous un toit et être soignés. Les associations font ce genre de travail et s’occupent de veiller à ce que ces gens qu’ils hébergent y vivent en toute sécurité.

Les rôles d’une association et les types de dons

Les associations ou les bénévoles ne connaissent pas le repos. Même en travaillant pour donner une meilleure vie, 2 personnes sur 8 refusent d’être prises en charge. Avec leur vie qui a besoin d’un soutien par les associations et même avec les tentatives des agents sociaux, l’avantage pour ceux qui donnent des dons pour une association c’est qu’en plus de l’aider, ils obtiennent une réduction d’impôt jusqu’à 60 %.

Pour les dons, si les donateurs ne savent pas quoi offrir même en connaissant très bien les activités de l’association, ils peuvent offrir des produits de première nécessité ou de l’argent. Il est bien faisable de donner à votre nom pour donner un statut de « donneur » ou « bienfaiteur », que l’importance des dons engendre par la suite ou bien de façon anonyme si vous voulez garder l’anonymat et juste donner pour le plaisir.

Comment et qui peut faire un don pour les associations ?

Tout le monde sans exception peut faire un don pour une association. Il n’y a ni limite d’âge ni statut, les sociétés et les personnes célèbres sont les plus attirées à faire des dons pour valoriser leur argent ou réduire les impôts. Mais pour les personnes physiques et entreprises, ils s’aident et collaborent dans un partenariat pour un bon rendement.

L’importance des dons c’est qu’ils favorisent aussi les conditions de vie des gens dans les associations. En faisant des dons, vous pouvez sauver des vies. Car à part les associations qui agissent pour les personnes, des associations peuvent aussi œuvrer dans la sauvegarde des animaux et de l’environnement.

Pour mettre en œuvre un projet humanitaire, caritatif, éducatif, sportif ou autre, la création d’une association est une excellente idée. Créer une association peut se faire par au moins deux personnes physiques ayant la capacité pour contracter. Ces personnes mettent en commun leur activité pour un but non lucratif. D’après la Loi du 1er juillet 1901, les procédures légales sont à respecter pour que le projet associatif soit valable. Face à votre projet de créer une association, les quelques conseils qui suivent sont nécessaires.

Des conseils utiles pour créer une association

Les conseils création d’une association sont utiles pour pouvoir créer une association respectueuse d’un certain nombre de règles fondamentales. Il est bon à savoir qu’il existe différents types d’associations dont il faut bien distinguer. L’association est libre de fixer son but, ce dernier qui ne doit pas être en contradiction avec les principes de bonnes mœurs et de licéité. L’activité de l’association doit être licite et bien déterminée, elle doit remplir le rôle en fonction des motivations qui ont animées les personnes qui l’ont créé : défense des intérêts des membres, partage de loisirs entre membres, action caritative ou humanitaire, … En général, une association doit avoir comme rôle principal d’apporter du secours, de l’aide et de l’assistance aux plus démunis. La création passe par diverses étapes, il est conseillé de vous informer sur ces étapes.

Les différentes étapes de la création d’une association

Il existe différentes formes d’associations, si certaines nécessitent de respecter les étapes de la création pour être valides, d’autres peuvent être créées sans être obligées de passer par ces étapes. Parmi les étapes à suivre pour se conformer à la loi en vigueur, il y a le choix du nom de l’association, la rédaction des statuts, l’organisation de l’assemblée constitutive, la désignation des administrateurs, la déclaration de la création de l’association, la publication au JOAFE (journal officiel des associations), … À part les étapes déjà citées, certaines associations doivent adhérer à des fédérations pour le respect de la réglementation en vigueur. Désormais, grâce à la technologie, il est possible de créer une association en ligne. De telles démarches simplifient la procédure.

Les avantages de la création d’une association

Il y a quatre formes d’associations : association déclarée, association non déclarée, association agréée et association reconnue d’intérêt public. Constituer une association présente certains avantages tels que la simplicité de la procédure de la constitution, l’absence de cotisation sociale avec la possibilité de faire appel à des bénévoles, l’absence de charge sociale à payer, l’exonération de la TVA et des impôts, la fiscalité avantageuse, l’absence de capital avec les contraintes financières épargnées, la comptabilité minimale sans avoir à publier les comptes annuels, les aides aux associations permettant le financement et le développement, etc.

Pour contribuer au bien-être social et au développement économique, diverses structures opèrent  dans différents domaines. Les associations figurent parmi les entités qui tiennent une place importante dans la vie d’une nation. Quels sont les critères qui justifient le choix d’une association ?

Les activités non lucratives

À leur début, de par leur nature même, toutes les associations ont toujours des activités à visées non lucratives. Les secteurs ayant des activités qui peuvent se faire sans s’attendre à un bénéfice sont les plus adaptés aux associations. Plusieurs secteurs répondent à cette caractéristique et peuvent confirmer le choix d’une association à constituer. Les associations sportives et culturelles représentent un pourcentage très significatif, dans ce sens. Les associations qui promeuvent des actions sociales, sanitaires et humanitaires sont aussi très intéressantes pour leurs activités et leur objectif. En outre, les associations de défense des droits, d’éducation et d’insertion professionnelle sont autant de structures intéressantes. Ces quelques exemples n’excluent pas l’existence d’autres secteurs d’activités que les associations peuvent exercer. Les sources de financement des associations proviennent des cotisations des membres, des dons, des mécénats et éventuellement, des leurs activités.

Les activités lucratives occasionnelles

À mesure de leur développement, les associations peuvent se tourner progressivement, de temps à autre, à promouvoir des activités lucratives. Elles se font, par exemple, à partir des ventes de charité, d’organisation de kermesses ou de lotos. L’organisation de bals, de manifestations sportives payantes, et d’autres activités encore sont des pratiques très courantes dans le domaine. Les gains obtenus par ces opérations occasionnelles ne sont pas redistribuables aux membres de l’association. Les bénéfices doivent être affectés à des projets associatifs. Une association ne fonctionne pas comme une entreprise, en matière de fiscalité, de telle opération est soumise à des conditions. Six opérations de ce genre seulement dans l’année sont exonérées d’impôt pour chaque association. Si une association est en liquidation, elle doit faire don des gains à d’autres associations ayant le même objectif qu’elle.

Les activités économiques lucratives

Les associations peuvent exercer, en parallèle avec leur activité principale, des activités à caractère lucratif. Dans ce cas, il faut que cette option soit mentionnée clairement dans son statut pour être légale. Elle doit procéder à une sectorisation de l’association, en matière de comptabilité afin de gérer l’imposition des activités économiques lucratives. Cette mesure est nécessaire pour que l’association ne puisse pas être taxée de faire de la concurrence déloyale. L’association ne devrait pas bénéficier de franchise pour leurs activités à recettes conséquentes, générant des bénéfices. Plusieurs domaines d’activités peuvent être considérés dans ce sens. L’exploitation des complexes hôteliers, des restaurants, des bars est un genre d’activité intéressant pour les associations. Les locations des salles de fêtes, les ventes des divers articles, les prestations en services juridiques sont autant d’activités économiquement exploitables.

Dès fois, il arrive que la sauvegarde d’un intérêt commun suppose la mise sur pieds d’une structure capable de prendre en charge toutes les formalités nécessaires se rapportant à de telles actions. De toute manière, l’intervention d’une association offre une certaine crédibilité à toutes les démarches relatives à toutes les opérations qui s’articulent autour du programme à mettre en œuvre.

Utilités de l’association pour la réalisation d’une cause commune

D’une manière ou d’une autre, créer son association autorise une formalisation des actions sous l’égide d’un groupe d’individus animé d’une cause commune. Il s’agit, entre autres, d’un encadrement d’une activité sociale ou de l’organisation d’un événement pour la promotion d’une activité culturelle. D’autant plus, l’existence d’une association légalement constituée constitue une preuve irréfutable de l’abnégation d’une communauté d’individus à agir ensemble dans la réalisation d’un projet sociale aux yeux des partenaires financiers. Effectivement, grâce à une association, tous les membres actifs de la structure peuvent prendre part à toutes les initiatives afférentes à des décisions d’envergure pour son compte grâce au vote. Il s’ensuit que dans une association, la cause commune reste primordiale et occupe une marge très importante dans les actions prioritaires qu’elle s’est engagées au quotidien.

Une association garantit la pérennité d’un projet

En réalité, il a été reconnu que la fédération des membres d’une association matérialise une propre volonté visant à la pérennisation d’un projet, quelle que soit son origine au sein d’une vie communautaire. Bien entendu, même si le porteur de projet quitte l’association pour des motifs non évidents, il en résulte que c’est l’association qui assure la continuité des travaux effectués auparavant. Par la même occasion, dans le cas où l’association ressent un besoin de financement pour son fonctionnement, les fondateurs de celle-ci peuvent solliciter des soutiens financiers ou autres contributions de la part des bénévoles pour s’en sortir. A vrai dire, tous les membres de l’association ne doivent pas, en aucun cas, faire l’objet d’aucune contrainte financière, contrairement à la procédure à suivre lors de la formation d’une société à responsabilité limité ou SARL dans la catégorie des sociétés commerciales.

Démarche à suivre pour la création d’une association

Dans le même ordre d’idées, il est bon de savoir que pour créer une association, il faut passer inéluctablement par diverses étapes qu’il faut observer pour la régularité des formalités exigées. En premier lieu, la constitution d’un statut juridique s’avère nécessaire. Pour ce faire, et le cas échéant, il est possible de recourir aux services d’un expert en la matière du genre des avocats et des experts comptables. Par la suite, la tenue d’une assemblée générale de tous les membres actifs permet l’authentification de la création proprement dite à travers l’établissement d’un procès verbal constitutif y afférent. En outre, une déclaration, accompagnée des statuts signés et du Procès verbal, auprès de la préfecture reste obligatoire.

La création d’une association est une étape incontournable dans le but de mettre en œuvre un projet sportif, éducatif ou encore culturel. La procédure de fondation d’une association doit en revanche respecter certaines règles fondamentales afin de la régulariser et la valider en tant qu’entité existant légalement. Les fondateurs devront notamment cerner les caractéristiques particulières de chaque étape de création avant de saisir les démarches.

Fonder une association dans les règles

Les procédures de création d’une association demandent premièrement 2 fondateurs âgés d’au moins 16 ans, qui seront souvent les dirigeants de l’organisme. L’association devra ensuite être compatible avec la loi 1901, qui stipule que l’association ne sera en aucun cas à but lucratif et sera uniquement destinée à réaliser les objectifs établis. Les fondateurs seront donc tenus de créer une société si ces derniers prévoient des bénéfices, et devront s’assurer que le siège social de l’entreprise ou de l’association demeure en France, à l’exception de l’Alsace-Moselle. Le siège est par ailleurs essentiel pour recevoir les courriers officiels et détermine en plus la préfecture à laquelle les créateurs dépendent. Celle-ci peut être différente de l’adresse des activités de l’association.

La rédaction des statuts de l’association est également imposée par la loi 1901, et des mentions légales devront être insérées pour déclarer ses caractéristiques (nom, siège social, etc.). Les statuts indiquent d’ailleurs les règles d’adhésions suivies du montant des cotisations de chaque membre en prenant la forme d’un contrat. Si l’association est soumise à une organisation complexe, les statuts devront être complétés par le règlement intérieur d’association.

Responsables et formalités de déclaration

La nomination des dirigeants est réalisée par décision qui sera constatée par procès-verbal de l’Assemblée Générale (AG) constitutive regroupant les fondateurs de l’association. Une personne en charge de représenter et diriger l’association devra obligatoirement être désignée en prenant généralement la place de président de l’association. Un trésorier et un secrétaire devront aussi être nommés pour assister le président dans la gestion des ressources financières, logistiques et administratives de l’organisme.

La déclaration de l’association, quelle que soit sa forme, devra être effectuée auprès de la préfecture ou sous-préfecture dans lesquelles se localise le siège social de l’association, à travers le remplissage des formulaires cerfa n° 13973*03 pour la création et n° 13971*03 pour indiquer la liste des dirigeants. La déclaration d’une association loi 1901 peut alternativement être exécutée en ligne, et dans les 2 cas, il sera nécessaire de fournir une copie des statuts de l’association accompagné du procès-verbal de l’AG.

Publication et obtention du numéro Siret

La préfecture demandera enfin une publication gratuite au sein du Journal Officiel des associations avant d’émettre le récépissé. Un récépissé contenant le numéro RNA sera alors délivré en cas de validation du dossier, sinon une lettre évoquant les motifs de rejet sera renvoyée.

Attention, l’attribution d’un numéro Siret n’est pas automatique suite à la déclaration à la préfecture, et l’association ne bénéficiera des subventions publiques que lorsqu’une demande de numéro Siret est déposée à l’INSEE.

Le don est une action généreuse et simple. Il participe à aider beaucoup de gens qui sont dans le besoin. Si vous en octroyez tous les ans à une association, il est temps de savoir que les dons offerts peuvent être défiscalisés. Vous n’aurez pas l’opportunité de récupérer la totalité des sommes offertes, mais l’impôt sur le revenu sera énormément réduit. En général, les dons auprès des associations effectués par les particuliers et les associations sont des moyens de défiscalisation les plus répandus. Faire un don permet de joindre l’essentiel à l’agréable.  Quand vous effectuez un don à des connaissances ou à des proches ou quand vous participez à une cotisation à une association par générosité, vous bénéficiez d’un impôt réduit sur votre revenu. Tout cela dépend en général de la somme donnée ou versée.

Dons et défiscalisation

Afin d’augmenter la générosité des personnes qui font des dons, un système fiscal a été créé. La défiscalisation des dons est très variable et cela varie selon l’association bénéficiaire, de la catégorie d’impôt et du montant alloué. En effet, pour avoir le droit à la déduction des impôts, les associations doivent être à but non lucratif, d’utilité publique, au service l’intérêt général et des gens en difficulté. C’est la loi de 1901 concernant le contrat d’association qui encadre la déduction fiscale relative au don aux associations.  Les termes de défiscaliser et défiscalisation sont devenus communs il y a un certain moment. La France est l’unique pays où la défiscalisation existe, plus particulièrement dans le secteur de l’immobilier.

Les dons concernés par la défiscalisation

La défiscalisation se situe sur les dons gratuits aux différentes associations. La première condition pour obtenir une réduction sur les impôts est de ne pas considérer le retour. Il est impossible de récupérer des avantages quelconques après avoir effectué un don. Les différentes formes des dons sont le versement de somme d’argent, le don en nature, le versement de cotisations et les différents frais d’une activité bénévole. Un don doit être désintéressé. Autrement dit, vous ne devrez rien demander pour le don effectué, pas de retour. Il ne devrait pas y avoir une sorte de calcul de retour quand il s’agit de dons.

Les dons : moyens de défiscaliser

À propos de défiscalisation, tous les moyens sont possibles. Mais vu les lois et les textes, il n’y a pas de formule qui permet d’optimiser la fiscalité. Il existe trois moyens de payer moins d’impôts : la réduction d’impôts, le crédit d’impôts et le déficit foncier. L’immobilier dans l’investissement locatif est le meilleur outil de défiscalisation. Cela réduit les impôts qu’on doit payer. Mais il existe aussi les moyens tels que les dons aux différentes œuvres caritatives, les cotisations syndicales, l’achat d’œuvres d’art et l’emploi des salariés à domicile.

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